Le métier
Le Technicien Supérieur du commerce international contribue au développement international durable de l’entreprise par la commercialisation de biens et/ou services sur les marchés étrangers, et par l’optimisation des achats dans un contexte de mondialisation.
En tant qu’assistant export dans un premier temps, il est l’interlocuteur privilégié au quotidien de tous les acteurs de l’activité internationale de l’entreprise.
- Il doit mener une veille permanente pour collecter des informations sur les marchés étrangers afin de préparer les décisions commerciales et d’en mesurer l’impact sur les performances de l’entreprise ou la rentabilité d’une opération.
- Il prospecte à l’achat et à la vente, élabore des offres adaptées aux demandes des clients, participe au processus de négociation et à la rédaction du contrat de vente.
- Il assure le suivi administratif et commercial des achats et des ventes et coordonne les services supports et les prestataires extérieurs.
L’ensemble de ces missions s’exerce dans un contexte pluriculturel.
Le profil nécessaire à l’exercice du métier
Les qualités appréciées chez un Technicien Supérieur du Commerce international sont :
- une véritable ouverture sur le monde contemporain
- une bonne maîtrise linguistique (français et deux langues étrangères :anglais indispensable)
- une importante capacité d’organisation du travail
- un dynamisme et une volonté de s’intégrer dans le monde du travail
Des compétences mises en œuvre en cours et lors des stages
Les étudiants sont amenés à travailler pour des entreprises durant leur formation (ex : études de marché à réaliser pour le compte d’entreprises démarchées par les étudiants) mais aussi en stage.
A la fin de la première année, ils réalisent un stage de 10 à 12 semaines dans une entreprise située dans un pays non francophone dans le but de mettre en pratique leurs compétences de communication, de gestion des demandes et des réclamations et de suivi des opérations d’achat/vente.
Lors de la seconde année, un stage de 6 semaines permet de compléter la formation sur les aspects plus techniques auprès d’un opérateur du commerce international ou de développer à nouveau des compétences commerciales.
La mise en œuvre de ces activités exige une tenue professionnelle. Une tenue correcte est également exigée durant l’année scolaire (absence de shorts et de joggings).
Les horaires de cours hebdomadaires en 1ère et 2ème années
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Unités de formation |
Première année |
Deuxième année |
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Horaire hebdomadaire |
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Culture générale et expression |
2 |
2 |
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Langue vivante A |
4 |
3 |
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Langue vivante B |
4 |
4 |
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Culture économique, juridique et managériale |
4 |
4 |
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Relation commerciale interculturelle |
4 |
2 |
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RCI en anglais |
1 |
2 |
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Mise en œuvre des opérations internationales |
5 |
6 |
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Développement commercial international |
5 |
4 |
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Enseignements facultatif |
A déterminer |
A déterminer |
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Préparation de césure |
2 |
2 |
Les débouchés :
Le BTS Commerce International permet :
- De travailler au sein des PME ayant une activité à l’import ou à l’export ;
- Chez les commissionnaires de transport ;
- Voire à l’administration des douanes (après concours administratif).
IL permet par ailleurs de poursuivre des études :
- A l’université : licence de Commerce International, licence professionnelle « Métiers du commerce international », licence LEA, etc.
- En 3ème année d’école de commerce dans les filières Marketing international, Marketing digital, Marketing du luxe, Logistique, Finance, Développement international, Achats, etc.
- Ou d’intégrer des écoles spécialisées : ex. : Institut Supérieur du Transport et de la Logistique Internationale (ISTELI).